Je me sens étrange, et surtout étrangère à ce monde.... Ma peau est brulante, mais je ne suis pas fiévreuse pour autant.... mes doigts sont glassés.. mais je ne me sens pas malade... les questions trottent encore dans ma tête et me donne l'impression qu'elle va exploser... Mes yeux me brullent comme si un jet d'acide les avaient percé.... J'ai mal, mal au coeur, mal à l'âme.. j'ai mal et je perd le pourquoi de ce mal souvent.... et j'attends, j'attends que ça change, et ça change... Mais ça revient toujours au départ, pourquoi le mal ne peut pas partir s'enfuir définitivement....
Je me sens si fragile, de ce monde....C'est comme si la fureur de Rochel venait de me frapper en plein coeur....  (je sais j'ai adopter la série, fallait bien trouver des nom à mes Anges non?)
J'ai un ami, qui m'a dit qu'il regrettait le temps où il pleurait tous les soir, le temps où il était triste... Celà ne m'a même pas suprise car les gens de nos jours aiment bien ce comtempler dans la douleur et la tristesse... pour ma part je fus simplement déçut... je me bas chaque jour, chaque minute, chaque seconde  pour essayer de trouver le sourire même infiniment petit qu'il puisse être.. lui a trouver le bonheur... et le rejette, parce qu'il aime être triste....
La tristesse parfois soulage, mais moi aujourd'hui je la connait en tant que poid sur mon coeur... La douleur me fait faiblir, et me meurtrit à l'intérieur..... Je souffre...
Tuez-moi je vous en pris, je ne veux plus jamais ressentir le mal ainsi... Tuez-moi, s'il vous plait..

Si terrible était la vie
Mais sans l'oubli d'aimer larmes et rires...
Dans mes yeux je m'excuse, jamais plus...
Fatigué je pense...
Mais je sais, ça fait si mal qu'à la fin
Enfin s'achèvera toute mon existence

Si je hais mon univers, pourquoi encore patienter ?
Qui suis-je pour regretter ?
Comment me pardonner ?

Je n'espère plus, j'ai tant donné
Tout me rend si lourd...
Tant de peine sur ma tempe...
Si tranquille je m'excuse si mal...
Qu'à la fin s'achèvera toute mon existence


Tout pour oublier
Pour abréger pour arrêter
Comprends les faits et toute ma peine

Parfois les gens ne font pas attention à vous, mais quand ce sont des êtres d'un autre sang vous en souffrez...

Je passe comme un fantôme, je n'existe plus par moment, souvent même...

J'ai mal, je souffre... Et puis je reparais aux yeux des autres, et ils m'engueulent pour des fautes commises par d'autres...

 Je ne dis rien, silencieuse j'écoute, j'encaisse, je prends en plein tête... et je repars...

Ici c'est comme un temple pour moi, j'y passe beaucoup de temps... Ce soir je me vois me couper encore et toujours, cette pensée me tourmente, mais qui peut comprendre ce que je ressens... Je sens mon cœur se lacérer de douleur au point que je voudrais l'arracher, et malgré tout l'amour que j'ai, ma douleur grandit... Le passé qui éclate à ma vue de plus en plus, les douleurs du présent, et les angoisses de l'avenir...

J'ai du mal à me dire « ne te blesse pas », je regarde le tiroir, il cache l'arme, et j'ai envie de l'ouvrir, de me libérer de ce mal... J'ai l'impression d'être prisonnière d'une cage sans porte ni fenêtre...

Comment sortir d'un tel endroit ?

 

Pourquoi ce refrain

Toujours revient ?...

Pourquoi l'homme est-il si méchant ?

Je sens encore mon cœur hurlant,

De l'abandon,

Encore brisé le cordon,

Je retombe,

Dans ma tombe...

Les gens prennent-ils plaisir

A me voir souffrir ?...

Encore délaissée,

Par l'être retrouvé...

J'ai mal,

Trop mal,

Pour chercher à comprendre,

Pour chercher à apprendre...

Dans le tourment de mon cœur,

Lentement je meurs,

Laissant la lame vaciller

Sur ma peau déjà blessée,

Et j'observe le sang

Qui coule lentement...

Mes larmes se séchant

Mon être se vidant,

J'oublie de vivre,

Et ne trouve pas la force de survivre...

Oublier ceux qui nous ont abandonné,

Pour ne plus jamais succomber,

Aux souvenirs douloureux,

A ceux qui nous rendent malheureux...

Regarder l'être en face,

Voir son vrai visage,

Et comprendre maintenant,

Que l'homme par définition est méchant...

Pourtant il y a ces êtres si exceptionnels

Et pour qui on traverserait l'éternel...