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ange de le mor....
recouvre moi de T grande ailes noir emporté moi ds ton royaum loitain fai de moi se ke tu ve frapp moi viole moi fai de moi ton esclav mai ne me laiss pa ici ce mond é tro ..... TRO CHIAN c vraimen un monde de merde je ten supli emmene moi ac toi ne me laiss pa ici je ten supli je ten supli
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il été la just devan moi il maV retrouvé 7 ange ke jaV emputé les ailes en san brule é a moitié araché sin cora gardé les tras de ma lam aiguisé il ne pouvé plu volé il aV lé yeu en san la vision du paradi lui manké troc pr sa ke je l'aV mutilé il vivé ds un endroi ke jamai je ne veré...il me di un pe plu tar kil maV éM é kil aV lintention de menmené o paradi ou jorai été desintoxiké é accépter pe etr mm transformé mé kom dab g tt gaché il deV vivre caché sur 7terr kil haisé tan ac kom seul ami moi ki laV condamné a éré pr leternité
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et on ve nous fair croire ke les ange veille sur nous mm a 7 instan crutial il na bouge peti le peti doi ns ne som ke des acteur ne coyai pa ke sa orai pu sa peC otremen ne regrété pa vo choi de tt fason c du paC vs ne pouV plu rien i changé votr vi é tt traC ke vs fasié des effor ou ns pr reussir le resulta sera le mm il sav deja notr avenir ns ne savon pa komen ns allon arivé a sa mai c ecri tt é deja di vs ne pouvé rien changé ns ne som ke d pantin entr c main
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Le cœur silencieux j'avance lentement dans le noir j'ai perdu de vu la petite lumière qui brillait encore hier en fin d'après midi... Je pense beaucoup, et j'ai mal aussi... mais je ne dis rien, je me taie...
Parfois j'ai l'impression de mourir de l'intérieur, comme si mon cœur ne devenait plus qu'une enveloppe charnelle dénudée de toute âme... Perdue dans mes pensées, le regard loin, le cœur qui se serre et les yeux aux bords des larmes, j'attends que le mal passe... mais il ne veut pas s'en aller un peu plus loin, voir ailleurs...
Doucement j'attends le soir pour revivre un peu de mes cendres... et pour laisser mes larmes à la lune merveilleuse qui me les récupère le temps d'un sommeil...
En rêve je me vois blotti au creux de bras protecteurs, je me voix caressé le visage de douces main... et j'attends...
Quand en fin le jour se lève pour laisser place à la plaie saignante de mon être... en silence écoutez sa plainte, écoutez-le pleurer, il meurt chaque jour un peu plus... Frappé d'un coup de poignard il ne dit rien, saigne, saigne encore jolie coeur... Meurt lentement, surtout prend ton temps, supplice éternel, c'est toi qu'on a choisit pour souffrir, c'est toi qui est choisit pour mourir...
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